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29 janvier 2009 4 29 /01 /janvier /2009 00:05
La prof leur a proposé : Si j'avais un milliard de dollars... Elles ont complété la phrase :

Si j'avais un milliard de dollars, j'achèterais une nouvelle voiture.

Et puis, elle leur a proposé : Si j'avais une nouvelle voiture... Et elles ont continué.

Voici ce que cela a produit :

Si j'avais un milliard de dollars, j'achèterais une nouvelle voiture.
Si j'achetais une nouvelle voiture, je serais très heureuse.
Si j'étais très heureuse, je ne m'inquiéterais pas.
Si je ne m'inquiétais pas, je quitterais l'école.
Si je quittais l'école, j'irais à Hollywood.
Si j'allais à Hollywood, je deviendrais star.
Si je devenais star, j'aurais un milliard de dollars.

Elles sont pragmatiques, les petites Américaines, n'est-ce pas ?

Vroum !

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24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 02:13
Mon lit se trouve au milieu de mon living !!!

Qu'est-ce qui se passe ???
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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 13:05
C'est l'ami Walrus qui a trouvé !

Hier, il a fait si beau que j'ai lavé la voiture, à la lave-voiture automatique.


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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 00:10

BONNE SOIRÉE !
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22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 21:51
...devinez un peu ce que j'ai fait !



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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 18:44
Déjà qu'on a gagné 19°C entre la température d'hier et celle d'aujourd'hui, je suis allée en ville sans liste et je n'ai rien oublié (je marque ce jour d'une croix blanche), et puis, j'écoutais le CD qui arrivait l'autre jour, un disque j'ai en vinyl depuis très longtemps, l'ayant connu grâce à ma première camarade de chambre lorsque j'étais à l'université...Tiens, je la partage avec toi la musique, les paroles, et le tout, et lorsqu'il y a les parties d'instruments, tu planeras un peu avec moi, surtout à écouter ces tambours...bah-oeux...bah-oeux...

Voilà...tous en choeur !!!



If it seems to you that I am fading

S'il te semble que je diminue...

Everytime I try to talk to you
The words I'm speaking distort the view
And then I end up thinkin' what can I do
Now you're slippin' away for a new

À chaque fois que j'essaie de te parler
Les mots que je dis déforment la vue
Et puis je finis par penser «qu'est-ce que je peux faire ? »
Et tu faufiles envers un nouveau...

Always hoping that the day will come
When I can face it, won't have to run
When all there has been is yet to come
When I don't hide my face from the sun
And I know it's myself it's not you

Espérant toujours que le jour viendra
Quand je pourrai y faire face, ne serai pas obligé de courir
Quand tout ce qu'il y a eu sera encore à venir
Quand je ne cacherai pas mon visage du soleil
Et je sais que c'est moi-même, c'est pas toi

I can see everything
It's all in your smile that brings
All of the special things about you
If you could feel the way
That I do today we could
Find us a better way to get through

Je peux tout voir
C'est tout dans ton sourire qui apporte
Toutes les choses spéciales en toi
Si tu pouvais te sentir
Comme je me sens aujourd'hui, nous pourrions
Trouver un meilleur moyen d'y faire face

Everytime I climb into your eyes
I get so wasted and hypnotized
But there is one thing you can't disguise
That you're slippin' away for a new
Baby if I could control the time
Then I could stop it and redefine
Just what is real and how I've been so blind
I could put all the words into rhyme
And I know it's myself it's not you

À chaque fois que je grimpe dans tes yeux
Je deviens si affaibli et hypnotisé
Mais il y a une chose que tu ne peux pas déguiser
Que tu faufiles envers un nouveau...
Baby, si je pouvais contrôler le temps
Je pourrai l'arrêter et rédéfinir
Exactement ce qui est réel et à quel point j'ai été aveugle
Je pourrais mettre tous les mots à rimer
Et je sais que c'est moi-même, c'est pas toi

If it seems to you that I am fading

S'il  te semble que je diminue
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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 00:37
Un vent féroce du nord-ouest a rendu le trajet aux cours mercredi matin très intéressant, à moins dire, et à deux ou trois reprises, je me sentais un peu comme Robert Falcon Scott, l'explorateur voué à l'échec mortel au Pôle Sud.

Vous riez, mais la neige battait tellement que je ne voyais plus rien plusieurs fois. En anglais, cela s'appelle un "white-out".

Mais bon, j'y suis arrivée, j'ai fait cours et à l'heure de rentrer, ça ventait un peu moins fort, mais avec la température réelle à -16°C, cela a fait que la temperature qu'on apercevait sur la peau (ze wind chill) était  à -29°C. Alors, oui, je me sentais bien comme le commandant Scott, surtout lorsqu'il devait sortir de sa tente pour faire pipi.

En dépit de tout cela, j'ai dû m'arrêter au supermarché pour acheter quelques provisions.

Vous savez peut-être que certains supermarchés américains ont des employés qui mettent vos achats dans des sacs et qui ensuite portent ces sacs jusqu'à votre voiture, n'est-ce pas ?  Or, ce n'est  pas le meilleur boulot du monde, mais les jours comme aujourd'hui, où il faut continuellement sortir, c'est pas la joie !  Bon, j'ai toujours aimé le gars qui m'aidait aujourd'hui, surtout parce qu'il veut toujours causer un peu en travaillant.

Aujourd'hui, c'était pareil, il ne perdait pas courage dans le glagla. En sortant du magasin (pour rentrer dans le froidissime), il m'adresse la parole :

-- Et comment allez-vous, madame, lors de ce beau jour iowanien par excellence ?

J'ai répondu que j'allais bien mais que le vent était un tantinet trop frisquet pour mon goût.

-- Bah, pas de problème, a-t-il répondu. On dit que demain il fera un peu moins chaud, quand même !

Alors là, il le disait comme si nous étions en plein été sous un soleil impitoyable où nous mourions de la chaleur.

C'était plus fort que moi et j'ai commencé à rire !  Le pauvre monsieur garé à côté de moi a dû attendre une minute de plus afin de pouvoir partir (ma portière ouverte bloquait sa sortie) parce que je riais tant de ce qu'avait dit ce gentil petit carryout-boy, qui est, décidément, à partir de désormais,  mon favori définitif
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11 janvier 2009 7 11 /01 /janvier /2009 23:22
J'en profite pour voir si j'arrive à mettre un sondage ici !

Que faire ?
Il ne fera pas beau demain. Que devrais-je apporter avec moi ?
Ce que tu prends normalement (tes affaires de classe)
Ce que tu prends normalement et une brosse à dents.
Ce que tu prends normalement et ta trousse de toilette.
Ce que tu prends normalement et une valise afin de rester à l'hôtel,pour plusieurs jours si nécessaire !.
Une couverture, de la nourriture et un kit de survie si tu es "naufragée" en rentrant pour être avec iowaboy, quoiqu'il arrive !!!
Rien ! Ne va pas aux cours !!!

Résultats
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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 16:19

Il y a des moments où la vie est impossiblement belle.
La petite fente blanche, c'est pour tous les autres.

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16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 14:10
LA PETITE FILLE AU SUPER  (26 juin 2005)

Elle avait six ou sept ans, tout au plus, la petite aux longs boucles bruns qui faisait la queue toute seule cet après-midi-là au supermarché. Quand je lui souris, elle me parla.


« Pardon, pourriez-vous me dire si je peux acheter ces biscuits avec un dollar et sept centimes ?


- Je ne sais pas, lui répondis-je, en regardant son paquet d'Oreos, mais je veux bien aller voir au rayon biscuits.


J'étais un peu surprise mais enchantée qu'elle me raccompagne au rayon, tout en me racontant que son papa lui avait fait entrer au magasin toute seule,  et tout comme il n'y avait pas d'étiquette sur le paquet avec le prix marqué dessus, elle ne pouvait pas savoir si elle avait assez d'argent.  Ses yeux noirs étaient très sérieux.  On sympathisait, en se disant que ce n'était pas toujours facile de savoir, et qu'il faut souvent bien regarder les prix affichés sur les étagères pour en être sûres et même lorsqu'on est sûres, on peut se tromper.


On bavarda entre femmes, quoi.


En arrivant au rayon, j'aperçus tout de suite qu'elle n'avait pas assez d'argent.  J'avais bien l'intention de lui en « prêter » le reste, mais lorsque je lui annonçai le vrai prix, elle remit vite son paquet, comme s'il la brûlait.


Je la regardai, et je lui dis,  « Hmm, hmm, voyons, qu'est-ce qu'on peut bien acheter avec un dollar sept centimes ? »


Il y avait un paquet de biscuits similaires, mais d'une marque inconnue. Leur prix, 99 centimes.


- Tiens, ces biscuits-ci sont presque la même chose, est-ce que ça t'irait ?


Elle me sourit et les prit.


Nous retournâmes à la caisse, je l'invitai à passer devant moi.


Elle dut se mettre en pointe afin de pouvoir mettre tous ses sous sur le comptoir.  La caissière lui expliqua gentiment qu'elle pouvait garder les pièces et qu'elle allait même en recevoir encore une de son billet.


- Dis-moi, lui fis-je, avant qu'elle ne parte.  Tu vas pouvoir manger tous ces biscuits toi-même ? 


- Non, avoua-t-elle en soupirant.  J'ai des frères. 
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